Avant-propos
Cette page est dédiée aux gens de la pire espèce : ceux qui veulent tout savoir d'un spectacle avant de le découvrir.
Si vous n'êtes pas de cette catégorie nauséabonde, merci d'arrêter immédiatement la lecture, de faire preuve d'audace et de réserver un billet.
Si vous êtes un programmateur de grand théâtre parisien arrivant sur cette page parce que nous vous avons envoyé un lien dans l'espoir de signer un juteux contrat : toute l'équipe s'excuse platement d'avoir laissé penser que vous étiez de la pire espèce. C'est faux, vous êtes merveilleux et même assez beau. Sachez que le rédacteur de cette page est un vil stagiaire. C'est lui qui est nauséabond. Moi.
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Note d'intention
L’idée d’origine tient en une phrase : écrire le d******* q******** l**** et j***** d’un c***** au b**** du p********. Mais en écrire plus en dirait trop.
Le scénario en découle : 18 saynètes comme autant d’échantillons de scènes de vie habituelles, au lit, à table, avec un ami, au téléphone, etc. Leur imagination qui déferle contraste avec leur quotidien qui déroule. La multiplication de scènes brèves entretient un rythme animé, confirmé par les répliques qui fusent.
L’histoire se lance comme si de rien n’était, enveloppant le spectateur dans des situations tranchantes et un humour agile. Quelques indices viennent à peine troubler la légèreté apparente. Le public les aperçoit sans avoir le temps de s’y arrêter : le premier niveau de l’histoire suffit à sa concentration. Plongé dans le huis clos, témoin d'une complicité à toute épreuve entre les deux personnages, le spectateur anticipe, s’accroche, s’interroge, s’inquiète, espère, souffre et rit. C'est parfois presque à la fin que l’on comprend que l’on a mal compris. À ceux qui reviennent, la même pièce propose alors une seconde histoire, qui raconte autre chose que ce dont elle parle.
C’est un peu La vie est belle sans les nazis. C’est une tragédie sans tristesse, de l’ironie sans cynisme et de la psychologie sans pesanteur. Ce serait Les Fleurs du mal en joyeux. En synthèse, ce projet se veut poétique, riche et radical, mais d’une simplicité qui interdit toute fioriture.
C'est un hommage à l’enthousiasme, au langage, à l’exigence, à la légèreté, à l’entièreté. La douce suggestion d’une manière de vivre acide, rageuse, pleine, joyeuse, impossible et séduisante.
Le texte d'origine est publié par Timothée Guérin aux éditions L’Harmattan, collection Théâtres en 2018. Une réécriture pour 2 rôles, qui correspond à la version actuellement sur scène, a été éditée en 2024. Le livre est la cible de médias envieux.
La presse nous encense, parce que lyncher une compagnie provinciale de spectacle vivant ne se fait pas.
Le scénario en découle : 18 saynètes comme autant d’échantillons de scènes de vie habituelles, au lit, à table, avec un ami, au téléphone, etc. Leur imagination qui déferle contraste avec leur quotidien qui déroule. La multiplication de scènes brèves entretient un rythme animé, confirmé par les répliques qui fusent.
L’histoire se lance comme si de rien n’était, enveloppant le spectateur dans des situations tranchantes et un humour agile. Quelques indices viennent à peine troubler la légèreté apparente. Le public les aperçoit sans avoir le temps de s’y arrêter : le premier niveau de l’histoire suffit à sa concentration. Plongé dans le huis clos, témoin d'une complicité à toute épreuve entre les deux personnages, le spectateur anticipe, s’accroche, s’interroge, s’inquiète, espère, souffre et rit. C'est parfois presque à la fin que l’on comprend que l’on a mal compris. À ceux qui reviennent, la même pièce propose alors une seconde histoire, qui raconte autre chose que ce dont elle parle.
C’est un peu La vie est belle sans les nazis. C’est une tragédie sans tristesse, de l’ironie sans cynisme et de la psychologie sans pesanteur. Ce serait Les Fleurs du mal en joyeux. En synthèse, ce projet se veut poétique, riche et radical, mais d’une simplicité qui interdit toute fioriture.
C'est un hommage à l’enthousiasme, au langage, à l’exigence, à la légèreté, à l’entièreté. La douce suggestion d’une manière de vivre acide, rageuse, pleine, joyeuse, impossible et séduisante.
Le texte d'origine est publié par Timothée Guérin aux éditions L’Harmattan, collection Théâtres en 2018. Une réécriture pour 2 rôles, qui correspond à la version actuellement sur scène, a été éditée en 2024. Le livre est la cible de médias envieux.
La presse nous encense, parce que lyncher une compagnie provinciale de spectacle vivant ne se fait pas.
L'équipe
Marine Vicente
Grande actrice et directrice d'acteurs
|
Éric Drevet
Mauvais acteur et directeur d'acteurs
|
Timothée Guérin
Auteur, metteur en scène et acteur
|
La compagnie
Fondée en 2013 par Timothée Guérin pour réaliser la pièce Les Rescapés du savoir-vivre, la compagnie de L'impensible tente de détester autant la facilité que la prétention. Elle souhaite un théâtre simple, rythmé par l’énergie et la sobriété, centré sur le choix des mots et silences et le jeu de l’acteur. Entre autres aventures, elle a monté Les mots pour se taire en 2018 et, après trois ans de représentations et un peu de Covid, a réécrit cette pièce de sorte à permettre aux trois acteurs de jouer chacun des deux rôles. D’un soir à l’autre, les interprètes changent donc (Marine + Timothée, Marine + Éric, Timothée + Éric).
Fiche technique
Si vous êtes un simple visiteur et que vous vous apprêtez obstinément à lire jusqu'aux détails de cette fiche technique, vous manquez de vacances.
Recommandations
Pièce ni obscène ni violente, destinée à un public capable de profiter des doubles-sens et subtilités.
Durée totale de représentation
70 minutes.
Mobilier, scénographie, plateau
Aucun équipement n’est nécessaire. Notre régisseur s’adapte à la régie et les acteurs au plateau (habitude du théâtre en appartement).
Lumières et sons
Plan de feux adaptable selon l’équipement de la salle.
Les musiques sont libres de droit. Elles sont stockées sur clé et ordinateur pour diffusion selon l’équipement de la salle. Connectique adaptable.
En cas de besoin d’amplification des voix (salles au-delà de 180 places), l’équipement est à fournir.
Équipe
Les 3 membres de la Compagnie :
- 2 acteurs choisis à chaque représentation parmi les trois membres de la compagnie ;
- 1 régisseur son/lumière, également responsable de la billetterie et de l’accueil du public.
Prix du spectacle
À discuter selon l'éloignement, le nombre de dates et l’éventuel partage de la billetterie.
Temps d’occupation de la salle
4 services techniques auront lieu. Les durées sont compressibles, notamment en festival.
Lorsque cela est possible, nous aimons pouvoir compter :
- réglage lumière et son : 3 heures,
- filage technique : 1 heure,
- représentation : 1 heure 10,
- démontage : 15 minutes.
Contacts et réseaux sociaux
Pièce ni obscène ni violente, destinée à un public capable de profiter des doubles-sens et subtilités.
Durée totale de représentation
70 minutes.
Mobilier, scénographie, plateau
Aucun équipement n’est nécessaire. Notre régisseur s’adapte à la régie et les acteurs au plateau (habitude du théâtre en appartement).
Lumières et sons
Plan de feux adaptable selon l’équipement de la salle.
Les musiques sont libres de droit. Elles sont stockées sur clé et ordinateur pour diffusion selon l’équipement de la salle. Connectique adaptable.
En cas de besoin d’amplification des voix (salles au-delà de 180 places), l’équipement est à fournir.
Équipe
Les 3 membres de la Compagnie :
- 2 acteurs choisis à chaque représentation parmi les trois membres de la compagnie ;
- 1 régisseur son/lumière, également responsable de la billetterie et de l’accueil du public.
Prix du spectacle
À discuter selon l'éloignement, le nombre de dates et l’éventuel partage de la billetterie.
Temps d’occupation de la salle
4 services techniques auront lieu. Les durées sont compressibles, notamment en festival.
Lorsque cela est possible, nous aimons pouvoir compter :
- réglage lumière et son : 3 heures,
- filage technique : 1 heure,
- représentation : 1 heure 10,
- démontage : 15 minutes.
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